Longeville-lès-Saint-Avold

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Longeville-lès-Saint-Avold
Longeville-lès-Saint-Avold
Vue de la bourgade depuis la D 606.
Blason de Longeville-lès-Saint-Avold
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Forbach-Boulay-Moselle
Intercommunalité Communauté de communes du District urbain de Faulquemont
Maire
Mandat
Emmanuel Thiry
2020-2026
Code postal 57740
Code commune 57413
Démographie
Gentilé Longevillois
Population
municipale
3 611 hab. (2021 en diminution de 3,11 % par rapport à 2015)
Densité 147 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 00″ nord, 6° 38′ 23″ est
Altitude Min. 228 m
Max. 411 m
Superficie 24,54 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Longeville-lès-Saint-Avold
(ville isolée)
Aire d'attraction Saint-Avold (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Faulquemont
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.mairie-longeville-les-st-avold.fr/

Longeville-lès-Saint-Avold est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.

Localisée dans les régions naturelles du pays de Nied et du Warndt, ainsi que dans le bassin de vie de la Moselle-Est, la commune comptait 3 611 habitants au dernier recensement de 2021 en diminution de 3,11 % par rapport à 2015.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est située à environ quatre kilomètres de Saint-Avold et à trente-huit kilomètres de Metz. Elle se situe dans une vallée du massif forestier franco-allemand du Warndt. Le cours d’eau de la Rosselle prend sa source sur le territoire de la commune, avant de se diriger vers Saint-Avold, Hombourg-Haut puis Forbach et de passer en Allemagne, où elle confluera avec la Sarre.

Rose des vents Boucheporn Saint-Avold Rose des vents
Zimming N Saint-Avold
O    Longeville-lès-Saint-Avold    E
S
Bambiderstroff Laudrefang Saint-Avold

Réserve naturelle[modifier | modifier le code]

Depuis 1985, Longeville-lès-Saint-Avold abrite aussi une réserve naturelle volontaire de 79 hectares pour les chiroptères, la première créée en France par le ministère de l’Environnement. En effet, les sites dits du Haut Bois et du Castelberg sont creusés de grottes qui servent de refuges hivernaux aux chauves-souris. Quatorze espèces sont présentes, dont le Grand rhinolophe, le Grand murin, le Vespertilion à oreilles échancrées, le Vespertilion de Bechstein et la Barbastelle d’Europe.

Les mines de Longeville-lès-Saint-Avold[modifier | modifier le code]

La mine du Haut-Bois est une ancienne mine de cuivre exploitée dans les couches intermédiaires du grès du Trias inférieur et fermée en 1864[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Rosselle, le ruisseau le Blindengraben, le ruisseau le Friesegraben et le ruisseau de Dourd'Hal[Carte 1].

La Rosselle, d'une longueur totale de 32,8 km, prend sa source dans la commune de Boucheporn traverse treize communes françaises puis, au-delà de Petite-Rosselle, poursuit son cours en Allemagne où elle se jette dans la Sarre[2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Longeville-lès-Saint-Avold.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin Houiller ». Ce document de planification, dont le territoire est approximativement délimité par un triangle formé par les villes de Creutzwald, Faulquemont et Forbach, d'une superficie de 576 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[3]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse[4].

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau la Rosselle, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 881 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse à 14 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Longeville-lès-Saint-Avold est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Longeville-lès-Saint-Avold, une unité urbaine monocommunale[15] de 3 666 habitants en 2017, constituant une ville isolée[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Avold (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,3 %), terres arables (12,5 %), prairies (11,1 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), zones urbanisées (9,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), zones humides intérieures (1,3 %), mines, décharges et chantiers (1,1 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Anciennes mentions : Locum Glanderia (587), Locum Villelonge (1000), Longixdorf (1179), Longavilla (1180), Longavillen (1344), Longaville & Lungenfeld (1416), Longauillen (1462), Longfillen et Lungenfeldt (1486), Longenfelt (1497), Lungeville en Allemaigne (1502), Lungenfeldt (1594), Langendorf (XVIIIe siècle), Longeville (1793), Longeville-lès-Saint-Avold (1801), Lubeln (1871-1918), Langsdorf (1940-1944)[21],[22].

Lungenfeld en allemand[21], Lubeln en francique mosellan et Luuwle en francique rhénan.

On retrouve la trace de la commune dès le XIIe siècle, dans les actes de l’évêque de Metz. Longeville est alors connue sous le nom de Longavilla en 1180, ce qui signifie littéralement le long domaine. En 1314, ce nom se précise avec le rajout de Longavilla Juxta Sanctum Martinum in Glandaria, autrement dit Longeville de Saint-Martin à la Glandière. En 1801, la commune prend le nom que l’on connait désormais, Longeville-lès-Saint-Avold, pour se distinguer de ses homonymes. Durant le XIXe siècle, la commune était également connue au niveau postal sous l'alias de Louvelen[23]. À la suite de l’annexion allemande de 1871, le nom de Longeville sera à nouveau changé en Lubeln, nom également utilisé par les habitants parlant encore le francique mosellan (Platt). La commune retrouve son nom français dès 1918 mais sera rebaptisée Langsdorf entre 1940 et 1944.

Sobriquets[modifier | modifier le code]

  • Anciens sobriquets désignant les habitants[24] : Die Grumbiren Pitscher (ceux qui font péter/éclater les pommes de terre) ; Die Lubler Grumbiren Schnapser (les buveurs d'eau-de-vie de Longeville).

Histoire[modifier | modifier le code]

Des vestiges gallo-romains, découverts sur le ban de la commune, témoignent de l’ancienneté de l’occupation du site, confirmée par la présence d’un centre important de production de céramique sigillée situé dans le village voisin de Boucheporn.

La localité se développe autour du vaste domaine d’une abbaye bénédictine, fondée au VIe siècle et nommée Saint-Martin-de-Glandières. Au Moyen Âge, Longeville dépend de l’ancien duché de Lorraine. L'avouerie était un fief lorrain, rattachée au royaume de France depuis 1766.

Durant la Seconde Guerre mondiale, Longeville-lès-Saint-Avold peut être considérée comme une ville martyre. Près de 150 jeunes réfractaires et résistants seront déportés. Certains seront abattus par l'occupant[25].

L’ancienne abbaye bénédictine Saint-Martin-de-Glandières est fondée par le duc d’Aquitaine, Bodagiste[26], vers 587. En 1215, l’abbé Vulperus ajoute un hôpital au bâtiment. Mais les attaques et les pillages successifs par les troupes d’Albert de Brandebourg en 1552, par les Suédois en 1635, les troupes de Turenne et enfin par les Luxembourgeois en 1672, ruineront le monument. Il faut donc attendre 1685 et l’aide de Louis XIV pour que Don Hilario de Bar restaure l’abbaye.

La Révolution française condamne le clergé et, en 1792, le bâtiment est vendu à Charles Frédéric Durbach pour la somme de 101 000 livres. La bibliothèque monastique est transférée à Metz[26], tandis que le nouveau propriétaire détruit l’église abbatiale et construit une distillerie de pommes de terre, grâce à l’argent gagné après la vente des matériaux et biens de l’Église. En 1905, l’abbaye est revendue à l’évêché de Metz, qui le confie à l’ordre franciscain. Un terrible incendie ravage le bâtiment en 1937, mais grâce à l’aide de la population, il est entièrement rénové en moins de deux ans. Après la Libération, les moines continuent la réhabilitation et construisent une chapelle. Le monument est finalement vendu à la caisse primaire d’assurance maladie de Thionville en 1954 et devient ainsi la maison de repos et de convalescence Notre-Dame de la Paix, agréée depuis 1986[26].

La mine du Haut-Bois est une ancienne mine de cuivre exploitée dans les couches intermédiaires du grès du Trias inférieur et fermée en 1864.

Berg est une localité disparue qui se trouvait située près de Longeville-lès-Saint-Avold[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1815 1830 Jean Fougerouse    
1830 1837 Dominique François Willaume    
1837 1848 Georges Poulmaire    
1848 1852 Pierre Mangin   Aubergiste
1852 1856 Georges Poulmaire    
1856 1860 Jean Losson    
1860 1868 Jean-Louis Robert    
août 1860 1871 Charles Durbach    
1871 1873 Louis Richard    
1873 1876 Jean Losson    
Les données manquantes sont à compléter.
1902 1909 Jean-Pierre Losson    
1909 1915 Nicolas Vilpert    
1918 1922 Jean-Nicolas Losson    
1922 1929 Nicolas Heil    
1929 1932 Ernest Stein[28]    
février 1932 1940 Jean-Pierre Ballèvre[28]    
1940 1941 Ernest Vincent[28]    
1941 1944 Pierre Colette[28]    
1944 1945 Ernest Vincent[28]    
1945 1947 Lucien Henry[28]    
1947 1947 Jean-Pierre Losson[28]    
1947 1953 Lucien Henry[28]    
1953 1959 Nicolas Hettinger[28]    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 2014 Robert Webert SE  
mars 2014 juin 2020 Suzanne Thielen-Kalis SE Fonctionnaire
juin 2020 En cours Emmanuel Thiry DVD Cadre de la fonction publique
5e vice-président de la CC du District Urbain de Faulquemont (2020 → )

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 3 611 habitants[Note 4], en diminution de 3,11 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
1 4481 5961 7091 7022 1532 1481 8971 9411 855
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
1 8271 8511 6961 6361 6091 6571 7591 8011 769
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
1 7921 9152 0662 0152 5643 0963 1703 3723 664
1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 - -
3 6903 7503 7583 7613 7663 6353 611--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Longeville comptait[Quand ?] 135 entreprises, en majorité des PME et des artisans.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Vestiges gallo-romains.
  • Vestiges d’une forteresse médiévale.
  • Caves troglodytes.
  • Abbaye Saint-Martin-des-Glandières. Son aspect actuel est du XVIIe siècle avec l'ancienne enceinte. L'abbaye sert aujourd'hui de maison de repos et de convalescence. L'abbaye est entourée d'un vaste parc arboré.
  • Salle Saint-Martin. L'entrée principale est surmontée d'une statue de saint Martin.
  • Mairie.
  • Demeures anciennes.
  • Fresque murale de l'ancien village, rue Principale.
  • Monuments aux morts.
  • Monument érigé près de l'église en mémoire des résistants de Longeville-lès-Saint-Avold.
  • Mémorial des déportés et des résistants (érigé près de la D 603).
  • Presbytère catholique, situé près de l'église Saint-Magne. Il a été construit en 1913. L'entrée est ornée d'une croix de Lorraine.
  • Maisons forestières.
  • Behrmuhle (écart de la commune).
  • Finseling (ferme ruinée).
  • Wingerthal, village ou lieu-dit de la commune, aujourd'hui disparu.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • L’église paroissiale catholique, dédiée à saint Magne, construite en 1740. Un orgue remarquable, œuvre du facteur allemand Rivemach, est alors installé[26]. L’édifice est agrandi en 1889, dans le style néogothique. Orgues de Rivemach, vitraux, autels, chaire sculptée. La paroisse de Longeville-lès-Saint-Avold fait aujourd'hui partie de la communauté de paroisses de Saint-Martin-des-Glandières.
  • Un Christ de pitié du XVIe siècle dans la chapelle de l'ancien cimetière.
  • Calvaires.
  • Grotte de Lourdes.
  • Chapelle de l’abbaye, aménagée dans le cellier au XXe siècle et la crypte est construite en 1950.
  • La chapelle du cimetière.
  • La chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours est édifiée en 1884 dans l’écart de Kleindal.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Saint Digne, abbé.
  • Saint Oudon (Undon), abbé.
  • Arnoul (Arnold) Bodogisel, considéré comme 3e abbé et fondateur de l'abbaye Saint-Martin-des-Glandières.
  • Duc de Boufflers, abbé commendataire de l'abbaye Saint-Martin-des-Glandières dès 1752.
  • Nicolas Redler (1851-1919), inventeur du billard Nicolas, y est né.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Longeville-lès-Saint-Avold Blason
De gueules à trois glands d'argent, la cupule en bas, ceux du chef posés en bande à dextre et en barre à senestre.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Marc Mouth, Lûbeln ûn sin Plòt : Longeville-Lès-Saint-Avold et son francique

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Longeville-lès-Saint-Avold » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Jacques Kunzler, Les Cahiers lorrains no 4, 1988.
  2. Sandre, « la Rosselle »
  3. « SAGE Bassin Houiller », sur gesteau.fr (consulté le ).
  4. « Les SDAGE des districts Rhin et Meuse (2022-2027) », sur eau-rhin-meuse.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Longeville-lès-Saint-Avold et Seingbouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Longeville-lès-Saint-Avold », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Avold (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a et b Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Administration générale des postes, Dictionnaire des postes aux lettres, Paris, Imprimerie Royale, 1845.
  24. Cercle "Die Furbacher" - Histoire locale de Forbach no 62 - 2008
  25. Site de la Fondation de la Résistance
  26. a b c et d Histoire de Longeville sur un site personnel.
  27. Émile Lickenheld, Archäologisches Repertorium der Kreise Forbach und Saargemünd, article "Berg" page 23, Verlag der "Stimmen aus Lothringen", imprimerie L'Écho de l'Est (Bürger Zeitung), Forbach 1932.
  28. a b c d e f g h et i [PDF] Liste des maires
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.